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| Philippe Latombe | Santé | ’accès aux soins hospitaliers Vu 80308 fois
Article N°27222
Le Député Philippe Latombe communique: l’accès difficile aux soins hospitaliers implique la consultation des citoyens pour l’amélioration des infrastructures de Santé en Vendée.
Lors de la précédente mandature, j’avais, avec l’aide des élus de la majorité, obtenu un budget de 100 millions d’euros (50 pour La Roche-sur-Yon, 50 pour Challans), pour l’amélioration des infrastructures de Santé en Vendée. Etant donné l’accès difficile aux soins hospitaliers dans notre département, la construction ou rénovation de l’Hôpital de Challans, un sujet structurant, déterminant pour l’avenir de nos concitoyens, représente un objectif majeur et mérite un travail exhaustif et documenté qui permette une prise de décision éclairée. Pour l’instant, nous n’en sommes pas là , et c’est d’autant plus dommageable que nous perdons du temps.
Les études qui nous ont été présentées sont incomplètes et privilégient très clairement la rénovation de l’existant, sans présenter de façon sérieusement documentée l’alternative de la construction sur un autre site. Or, il est essentiel de prendre en compte que ce projet concerne tout le bassin de vie de Challans, voire même au-delà .
Par ailleurs, les avantages de l’une ou l’autre solution sont à prendre à court, moyen et long terme, à l’aune de l’évolution des technologies médicales et de leurs besoins en infrastructures adaptées, ainsi que de l’empreinte écologique de l’ensemble réalisé et des exigences environnementales à venir.
Le coût et le financement de l’une ou l’autre option ne sont que l’étape suivante, là aussi évaluée à court, moyen et long terme… Et surtout pas à l’emporte-pièce, comme c’est le cas actuellement, avec des montants supposés qui varient selon des proportions qui démontrent à elles seules les imprécisions du dossier.
Lorsque ce travail préliminaire, incontournable, aura été fait, il me semble indispensable que les deux options dûment documentées soient présentées aux principaux intéressés, les habitants du bassin de vie challandais, et que leur avis soit recueilli, par exemple à la faveur d’une consultation ou d’un référendum. Les temps changent. Il est devenu indispensable de faire participer nos concitoyens, surtout aux choix qui les impactent très directement. Cela n’enlève rien aux prérogatives des élus, mais cela permet d’asseoir les décisions prises sur une base consensuelle et d’en améliorer l’acceptabilité. La réunion, qui se tiendra lundi prochain dans le cadre du Conseil national de la Refondation, va dans ce sens, et est significative de cette nécessaire évolution des relations entre l’Etat, les élus et les administrés.
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Les études qui nous ont été présentées sont incomplètes et privilégient très clairement la rénovation de l’existant, sans présenter de façon sérieusement documentée l’alternative de la construction sur un autre site. Or, il est essentiel de prendre en compte que ce projet concerne tout le bassin de vie de Challans, voire même au-delà .
Par ailleurs, les avantages de l’une ou l’autre solution sont à prendre à court, moyen et long terme, à l’aune de l’évolution des technologies médicales et de leurs besoins en infrastructures adaptées, ainsi que de l’empreinte écologique de l’ensemble réalisé et des exigences environnementales à venir.
Le coût et le financement de l’une ou l’autre option ne sont que l’étape suivante, là aussi évaluée à court, moyen et long terme… Et surtout pas à l’emporte-pièce, comme c’est le cas actuellement, avec des montants supposés qui varient selon des proportions qui démontrent à elles seules les imprécisions du dossier.
Lorsque ce travail préliminaire, incontournable, aura été fait, il me semble indispensable que les deux options dûment documentées soient présentées aux principaux intéressés, les habitants du bassin de vie challandais, et que leur avis soit recueilli, par exemple à la faveur d’une consultation ou d’un référendum. Les temps changent. Il est devenu indispensable de faire participer nos concitoyens, surtout aux choix qui les impactent très directement. Cela n’enlève rien aux prérogatives des élus, mais cela permet d’asseoir les décisions prises sur une base consensuelle et d’en améliorer l’acceptabilité. La réunion, qui se tiendra lundi prochain dans le cadre du Conseil national de la Refondation, va dans ce sens, et est significative de cette nécessaire évolution des relations entre l’Etat, les élus et les administrés.
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Philippe Latombe
Député de la Vendée
Première circonscription
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Philippe LATOMBE
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